Revue de Presse : L’alerte de l’Administration pénitentiaire sur l’état de santé d’Ousmane Sonko

Dakar, le 27 octobre (APS) – Aujourd’hui, les quotidiens sénégalais révèlent des sujets brûlants, mettant en lumière les préoccupations de l’Administration pénitentiaire et les défis rencontrés par l’industrie avicole.

Le Témoin titre en première page « Gravité de la maladie de Sonko : la preuve par des documents officiels ». Cette publication expose une lettre du directeur de l’Administration pénitentiaire adressée au ministre de la Justice, ainsi qu’un document interne de l’Hôpital principal, mettant en évidence la gravité de l’état de santé du leader de Pastef, Ousmane Sonko. Ces documents font état de la détérioration de sa santé, le forçant à reprendre sa grève de la faim depuis son arrestation en juillet dernier.

Bës Bi à la Une affiche « Lettre au ministre de la Justice sur la santé de Sonko, l’alerte du médecin ». Le journal rapporte les préoccupations du médecin-chef de l’Administration Pénitentiaire, soulignant les propos de plus en plus délirants et incohérents de Sonko. Le parquet a ouvert une enquête pour identifier les personnes impliquées dans la fuite de ces informations médicales sensibles.

Le Quotidien fait écho de « l’alerte de la Direction de l’administration pénitentiaire » concernant l’état de santé préoccupant d’Ousmane Sonko. Le nouveau Directeur général de l’Administration pénitentiaire, le Colonel Abdoulaye Diagne, a alerté la Garde des Sceaux sur la situation critique de Sonko, soulignant sa reprise de la grève de la faim en solidarité avec d’autres détenus politiques.

Vox Populi rapporte que « le procureur traque ceux qui ont fuité les données médicales de Sonko ». Le procureur de la République, Abdoul Karim Diop, réagit rapidement à la divulgation des informations médicales d’Ousmane Sonko, qui est actuellement en service de réanimation à l’Hôpital principal de Dakar.

En parallèle, les journaux se penchent sur les difficultés croissantes de la filière avicole au Sénégal.

WalfQuotidien souligne les « souffrances » de l’industrie avicole, confrontée à une crise sans précédent. Les acteurs de la filière avicole tirent la sonnette d’alarme sur le trafic de carcasses de poulets et d’autres produits importés, mettant en péril l’avenir de cette filière émergente.

L’As décrit cette situation comme « une alerte rouge ». Les acteurs de l’industrie avicole déclarent que la filière est sérieusement menacée par la pandémie de Covid-19, les perturbations sur les marchés internationaux liées à la crise en Ukraine et les importations frauduleuses de poulets.

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