Un montant de 31 milliards FCFA pour le bitumage de la route OREFONDE-NGUIDJILOGNE dans le Dandé Mayo de MATAM

Le Ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération internationale Amadou Hott et son Excellence SULTAN ABDULRAHMAN AL MARSHAD, Directeur Général du Fonds saoudien de Développement, ont procédé ce mardi 23 août 2022, au ministère de l’Economie, du Plan et la Coopération, à la signature d’un accord de prêt d’un montant 176, 25 millions de Riyals saoudiens, soit 31 milliards FCFA.

L’Etat du Sénégal a obtenu du Fonds saoudien de Développement un accord de prêt d’un montant de 31 milliards FCFA destiné au bitumage de la route Oréfondé-Nguidjilone, dans la région de Matam, a appris laviesenegalaise.com.

Il est destiné a bitumage de la route OREFONDE-NGUIDJILOGNE, dans le Dandé Mayo, longue de 62 km.
Avec ce montant de 31 milliards CFA, le financement des routes de désenclavement du Dande Mayo est bouclé et bientôt, les objectifs visés connaîtront un coup d’accélérateur. Il s’agit notamment de la fluidité des échanges commerciaux entre cette zone et le reste du pays, de l’amélioration des conditions de vie des populations.
En effet, ce projet d’une grande importance permettra le désenclavement, mais également le renforcement des échanges commerciaux entre la zone du Dandé Mayo et le reste du pays, tout en améliorant les conditions de vie des populations. Lesquelles, outre une meilleure mobilité, auront un accès plus facile aux services sociaux de base, aux structures de santé et à l’éducation.

Dans son allocution, le Ministre Amadou Hott a magnifié l’excellence des relations de coopération entre les deux pays, comme en témoignent les liens forts d’amitié et de fraternité entre le Roi Salman Ben Abdelaziz AL-SAOUD, Serviteur des Deux Saintes Mosquées, et Son Excellence Macky SALL, Président de la République du Sénégal.

Il a tenu à rappeler le dynamisme du partenariat entre les deux pays, qui, selon lui, remonte à la fin des années 70, avec des financements approuvés de 1 783 millions de riyals saoudiens, soit plus de 300 milliards F CFA, notamment dans les secteurs des infrastructures routières et de l’hydraulique, de l’énergie, de l’agriculture, de la santé et de l’éducation.

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