Kalidou Diallo : « La France de retour à la tête de l’Unesco, une organisation en crise, 43 ans après René MAHEU »
Face aux deux derniers candidats, la française Mme Audrey Azouley et le quatari Hamad bin Abdoulaziz Al Kawari, il fallait choisir entre l’ancien ministre de la culture du Qatar dont le pays s’est engagé à combler le gap budgétaire de l’Unesco mais avec le risque d’éloigner d’autres pays alliés de l’Arabie Saoudite et l’ancienne de la culture sous le gouvernement Walls qui est franco- marocaine, de parenté juive dont le pays à le potentiel de faire revivre l’unité dans l’Unesco et maintenir les fondamentaux de cet important organisme des nations unies née depuis 1946.
Choisie avec 30 voix sur 58 par le Conseil exécutif de l’Unesco, son élection définitive doit être validée par la conférence Générale composée de 195 Etats le 10 novembre prochain.