Ce que l’on sait de l’échange de tirs entre le Groupement d’Action Rapide de Surveillance et d’Intervention contre des malfaiteurs dans l’est du pays

On en sait un peu plus sur l’échange de tirs entre le Groupement d’Action Rapide de Surveillance et d’Intervention contre des malfaiteurs dans l’est du pays.

Une patrouille du Groupement d’Action Rapide de Surveillance et d’Intervention (GARSI) a essuyé des tirs d’armes à feu lors dune patrouille effectuée dans la nuit du 22 janvier 2020 vers 23h30. Apparemment, il s’agirait de trois individus à bord de moto. Du côté des gendarmes, aucune victime n’est enregistrée. L’incident s’est produit aux abords du village frontalier de Gathiary (Arrondissement de Kéniéba). La patrouille a immédiatement riposté et les malfaiteurs ont abandonné leur moto pour se fondre dans la brousse, lit-on dans une note du Haut Commandement de la Gendarmerie Nationale.

En continuant le ratissage, les éléments du GARSI ont ramassé des étuis de calibre 7,62mm, un fusil de chasse, un sac à dos contenant des effets personnels et des fragments de poignet de fusil AK47, renseigne la même source.
Le GARSI mène des opérations de sécurisation dans les régions à l’Est du pays dans le cadre de lutte contre le terrorisme et le grand banditisme. Selon la Gendarmerie nationale, cette présence préventive et permanente donne des résultats probants en contribuant au renforcement de la sécurité à nos frontières pour le bonheur des populations. 
L’enquête est menée par la brigade de recherches de Tamba. Ainsi, pour permettre l’arrestation de ces malfaiteurs et généralement, dans l’exercice de ses missions, la Gendarmerie invite la population à entrer en contact avec ses unités soit directement ou par téléphone.

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