Boubacar Boris Diop a pris le contre-pieds des intellectuels Africains qui défendent l’impossibilité d’enseigner les sciences en langues nationales. L’écrivain, dans un interview paru sur le Monde.fr, justifie cette faisabilité en donnant l’exemple de Cheikh Anta Diop et du professeur Sakhir Thiam.
Pour Boubacar Boris Diop, « c’est un stéréotype raciste que reprennent certains intellectuels africains prompts à se rouler dans la fange. Ce sont les humains qui forgent les mots, et tous les termes scientifiques, dans quelque langue que ce soit, ont été fabriqués ».