Le ministre de l’Urbanisme, des collectivités territoriales et de l’aménagement des territoires regrette «la persistance du mouvement d’humeur au niveau des collectivités territoriales». Selon Moussa Bala Fofana, cette situation «crée beaucoup de désagréments à nos compatriotes qui éprouvent de réelles difficultés à disposer d’actes d’état civil, du fait des mots d’ordre de grève consécutifs». Dans un communiqué, le ministre invite donc les exécutifs territoriaux à faire assurer un service minimum. Même s’il dit reconnaitre la «légitimité» des revendications de l’Intersyndicale.