« Les importateurs du riz véhiculent ces informations dans l’objectif d’aller à l’extérieur acheter du riz à bas prix comparé à celui vendu sur le marché local », a-t-il avancé dans un entretien avec l’APS.
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« Mais à Matam, avec l’acquisition de machines de qualité, le riz est vendu avant sa sortie de l’usine », a ajouté le président du collège national des producteurs de riz.
De cette manière, ces derniers pourraient selon lui écouler « sans grande difficulté » les quantités concernées.