Le CHEDS : de hautes études, le Centre passe aux « basses » études

Le Centre des hautes études de défense et de sécurité (CHED) est secoué par une affaire de mœurs. En effet, selon LesEchos, une ex-employée a traîné devant le tribunal du travail de Dakar ledit centre pour avoir été licenciée, en plein début de pandémie, pour « faute lourde ».


Alors que selon toujours le journal, la jeune Fatou Fall, puis ce que c’est d’elle qu’il s’agit, est victime de sa beauté. Belle comme une fée, la jeune dame est un produit de la Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Cheikh Anta Diop et diplômée en Sciences juridiques. Elle travaillait au CHEDS comme analyste en défense, sécurité et paix. Pour sa beauté, difficilement résistible, les machos au sein de la structure ont voulu faire de Fatou Fall un objet sexuel. Ce que l’ancien mannequin n’a pas accepté. Elle a résisté, selon LesEchos, à toutes les tentatives de harcèlement.

Ainsi, pour avoir refusé de troquer sa dignité en s’adonnant à des pratiques contraires aux bonnes mœurs ou encore de se rabaisser à même d’être la serveuse des déjeuners et cafés à ses supérieurs, elle s’est vue licenciée sans préavis ni dommages. Fatou Fall a donc saisi le tribunal du travail de Dakar pour trancher.

Interrogé sur cette affaire par nos confrères, le Centre des hautes études de défense et de sécurité (CHEDS) n’a pas souhaité commenter l’affaire en alléguant que le dossier est pendant en justice.

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