«Depuis hier, le président du parti PASTEF, Ousmane Sonko, est assigné à son domicile en violation de ses droits fondamentaux.
Je dénonce cette mesure illégale que rien ne justifie dans un Etat de droit.
J’appelle le Gouvernement à cesser sans délai ces atteintes aux libertés individuelles et collectives qui risquent d’installer notre pays dans une spirale de violence.»