L’ANPEJ, UN BON ELEVE DU PLAN SENEGAL EMERGENT

Une économie figée, dans laquelle toute possibilité de changement semblerait bien être l’idéale de la société sénégalaise. Cet idéal qui animait les sénégalais a été transformé en espoir par le Président Macky Sall depuis son accession en 2012 à la magistrature suprême. Une fois élu, malgré qu’il a trouvé un pays au bord du gouffre (endettement chronique, chômage extrême,..), il a pu donner une autre tournure à l’économie du Sénégal avec un redressement qui a valu au pays de réaliser un taux de croissance avoisinant les 6% comparé au 2% réalisé par le régime sortant.Amadou-Lamine-Dieng-ANPEJ

Avant, beaucoup de choses ont été dites sur la capacité du Président Macky Sall à relever le défi de l’emploi des jeunes. Personne ne semblait pourtant vouloir assumer la responsabilité d’un véritable challenge alors qu’il y a eu auparavant des présidents dont l’écrasante majorité exploita le refrain : « je donnerai la priorité à l’emploi des jeunes », « les jeunes sont la priorité de la politique du gouvernement », etc…

Avec l’avènement de MackySall, l’emploi des jeunes est devenu une réalité. Ayant très tôt compris l’urgence de réduire le chômage pour dynamiser l’économie, le Président a jugé primordial de réunir toutes les agences qui se chargeaient de la promotion et de l’emploi des jeunes en une seule structure avec la mise sur pied de l’Agence Nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes (ANPEJ) dirigé par le brillant Directeur AMADOU LAMINE DIENG.

Cette structure en moins de quelques années, a contribué fortement à la croissance du pays en rendant possible le financement de milliers de jeunes.

Dans cet esprit, le gouvernement veille à ce que les milliards que lui ont confié les sénégalais, soient utilisés au mieux et dans l’intérêt surtout de la jeunesse.

Franchement qui aujourd’hui ne magnifie pas le travail abattu par le Directeur AMADOU LAMINE DIENG ? Du nord au Sud, de l’Ouest au Nord, des jeunes sénégalais sans distinction, bénéficient de financements pour la réalisation de leurs projets.

Au Sénégal, on a l’habitude de croire que la politique de l’emploi n’est que chimère, que cela vouerait à l’échec, mais les résultats obtenus en si peu de temps par le Directeur de l’ANEPEJ montrent qu’il est possible de lutter efficacement contre le chômage.

Oui l’émergence est possible avec des personnes qui travaillent beaucoup et qui parlent peu.

Aucun problème n’a de solution si l’on ne se donne pas la volonté de le résoudre. Mais on résout les problèmes avec des gens qui sont compétents et volontaires. Si le Président de la République a dévolu sa confiance sur la personne de Monsieur AMADOU LAMINE DIENG ce n’est pas le fruit du hasard. Les bons résultats en sont la parfaite illustration.

J’entends tous les jours nos moralisateurs médiatisés pousser leurs cris habituels : « les jeunes ne travaillent pas », « le chômage ne fait qu’augmenter » ou encore « le gouvernement ne fait rien pour les jeunes ».

Au demeurant la dénonciation systématique contre le régime n’est que de l’acharnement. Les responsabilités politiques, qui aspirent un jour diriger ce pays, ne doivent pas nous flatter dans ce sens-là en nous berçant au son d’incantations adolescentes.

Les chiffres de l’ANPEJ parlent pour elle-même avec des programmes visant à promouvoir l’insertion des jeunes dans la vie active. Parmi lesquels on peut citer :

  • Programme d’appui à l’insertion des diplômés de l’enseignement supérieur (PADES) qui va générer 15.000 emplois sur 3 ans pour un montant global de 13 milliards de francs CFA
  • Projet de création d’une plateforme multiservices (SEN Téranga) : d’un coût de 5 milliards de francs CFA, d’une durée de 3 ans avec la mise en place de 2.000 Points-Services pour une création de 6.000 emplois
  • Programme d’appui à la création de Microentreprise (PAME) : qui va générer 15.000 emplois sur 3 ans pour un coût global de 10 milliards de francs CFA
  • Programme « une ASC, un projet » : qui va permettre la création d 20.000 emplois sur 3 ans avec un coût estimé à 12 milliards de francs CFA
  • Programme d’appui à l’insertion professionnelle des Jeunes Artisans (PAJA) : visant à créer 10.000 emplois pour 3 ans avec un montant de 8 milliards de francs CFA
  • Programme d’appui aux acteurs du secteur informel (PASI) : il est prévu en collaboration avec les villes de Dakar, Guédiawaye, Pikine, Rufisque, Saint-Louis, Kaolack, Diourbel et Tambacounda, la construction de 10.000 cantines pour le recasement 10.000 marchands ambulants. Le coût du projet est estimé à 9 milliards de francs CFA

D’ici 2017, on estime à 450.000 le nombre d’emplois qui seront créés. Ce qui est en phase avec les promesses du Président Macky Sall.

Au Sénégal on se félicite des avancées en termes de réalisations de l’ANPEJ. Ce processus contribue à évincer le fort taux de chômage chez les jeunes. Aujourd’hui l’ANPEJ est en train de devenir un des principaux moteurs de croissance du pays par le financement des projets surtout du secteur agricole,  branche sur laquelle le Président Macky Sall compte pour atteindre l’autosuffisance.

Il y a incontestablement une différence entre les réalisations de l’ANPEJ et des autres agences dans l’effort de contribution au développement économique du pays. A ce titre pour beaucoup de gens, une telle structure dotée encore de moyens supplémentaires et d’autres prérogatives, pourra permettre au pays d’émerger le plus rapidement. En ce domaine comme dans d’autres, il n’y a sans doute pas de solution miracle. Il faut simplement des gens compétents comme la personne de Monsieur AMADOU LAMINE DIENG.

Tout le monde est d’accord que l’ANPEJ fait partie des rares agences qui ont fait ses preuves. En témoigne la distinction de son Directeur à la tête de l’Association Africaine des Services d’Emplois Publics (AASEP). En effet l’expertise du Sénégal en matière de gouvernance de l’emploi des jeunes en Afrique a été reconnue et récompensée à travers cette distinction faite à l’endroit de Monsieur DIENG.

L’ANPEJ rend le changement et la concrétisation des projets possibles dans un domaine essentiel et sensible que l’employabilité des jeunes. Que se passerait-il au Sénégal si l’ANPEJ avait failli à sa mission ? Actuellement la jeunesse sénégalaise a trouvé en cette structure un assureur fiable à la réalisation de leurs buts.

La faiblesse de notre croissance était le résultat d’une absence totale d’une politique de l’emploi bien réfléchie et bien organisée. Ce qui conduisait à réduire à néant tous les milliards investis dans ce secteur. Aujourd’hui, tous les rapports nationaux et internationaux ont donné un grand satisfécit à l’ANPEJ particulièrement à son Directeur dont le charisme et le dynamisme ont permis d’obtenir de probants résultats.

Cependant certains refusent tout simplement de l’admettre alors que les 3 dernières années auraient été, pour la promotion de l’emploi des jeunes, une formidable période de croissance et de réformes à laquelle l’ANPEJ a été l’un des principaux acteurs. Du coup, la jeunesse sénégalaise en récolte les fruits.

On ne décrète ni l’emploi ni la croissance comme ça se faisait auparavant. Mais les emplois se créaient et la croissance suivra naturellement.

Les rares économistes lucides savent bien que l’ANPEJ est sur la bonne voie et à cet effet, il est l’un des bons élèves du Plan Sénégal Emergent (PSE). Par son dynamisme, le Sénégal s’éveille et sort progressivement de la pauvreté.

Monsieur AMADOU LAMINE DIENG, l’histoire se fait avec ceux qui agissent et non avec ceux qui critiquent. Heureusement que vous avez très tôt compris car la promotion de l’emploi ne tourne pas avec des mots mais suppose une réelle volonté. Donc des actes, des décisions et des investissements.

 

Iba Gaye

Observateur et défenseur de la République

Email : ibagayed@yahoo.fr

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